lundi 14 décembre 2009

Journée internationale de la solidarité humaine

Toutes les cinq secondes, un enfant meurt de faim, alors que la planète produit, chaque année, suffisamment de quoi nourrir 12 milliards de personnes, soit le double de la population mondiale. En ouverture de la commémoration de la Journée internationale de la solidarité humaine fixée au 20 décembre, le Président du Conseil économique et social (ECOSOC), M. Ali Hachani de la Tunisie, a engagé la communauté internationale à contribuer au Fonds mondial de solidarité. Il a ajouté que la pauvreté est l’une des violations les plus graves des droits de l’homme.

L’amélioration du sort d’un milliard de personnes dans le monde qui vivent dans l’extrême pauvreté et luttent pour leur survie avec moins d’un dollar par jour est de notre responsabilité à tous, a convenu la Présidente de l’Assemblée générale, Sheikha Haya Rashed Al Khalifa. Nous reconnaissons, aujourd’hui, lors de cette commémoration, que la solidarité internationale est une valeur commune qui nous unit dans nos efforts de réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD).

Devant un écart grandissant entre riches et pauvres qui fait que les 2% les plus riches de la population mondiale possèdent plus de la moitié des richesses, M. José Antonio Ocampo, Secrétaire général adjoint aux affaires économiques et sociales, a attiré l’attention sur l’engagement des pays riches à verser 0,7% de leur PNB à l’Aide Publique au Développement (APD). À ses yeux, respecter cet engagement serait un geste de solidarité humaine tangible. (n°1)

L’idée de solidarité humaine à l’échelle mondiale peut changer le monde, a déclaré Lech Walesa, cofondateur du mouvement ouvrier « Solidarnosc » et lauréat du prix Nobel de la paix en 1983. L’ancien Président de la Pologne a inauguré la cérémonie de lancement de la première Journée internationale de la solidarité humaine du 20 décembre 2005.

Cette Journée, proclamée par l’Assemblée générale en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté. La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle.

La solidarité, ce n’est pas seulement de la compassion. C’est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, a-t-il voulu, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur.

Nos rêves peuvent changer la face du monde mais ils doivent être accompagnés d’actions, a poursuivi Lech Walesa.

Nous ne pouvons résoudre aucun des grands problèmes du monde sans un partenariat mondial de grande envergure, a souligné Lech Walesa, estimant que le monde a besoin de changements et de mesures urgentes pour combattre la faim, les conflits, les catastrophes naturelles, les changements climatiques, les maladies et le terrorisme. Il ne faut pas avoir peur de rêver. Le mouvement « Solidarnosc » a pu en son temps mobiliser des millions de gens et contraindre une idéologie néfaste à la défaite. « Solidarnosc » a transformé la Pologne. La solidarité peut transformer le monde.

Les exemples de solidarité humaine abondent mais la question est maintenant de savoir comment traduire la solidarité en actes, a souligné, pour sa part, la Présidente de la Commission économique et financière (Deuxième Commission), Tiina Intelmann de l’Estonie, a souligné que la notion de solidarité est au centre des nombreuses questions abordées par la Deuxième Commission, telles que le commerce, la dette, le financement du développement, la mondialisation et l’interdépendance ou encore le renforcement de l’assistance humanitaire et les secours d’urgence.

La solidarité peut passer par pleins de petits gestes du quotidien. (n°2)

BIBLIOGRAPHIE nº1 :
Titre: Conseil économique et social (15/12/2006) / Commémoration de la journée internationale de la solidarité humaine
Auteur: Département de l’information • Service des informations et des accréditations • New York / Conseil économique et social / Reprise de la session de fond de 2006 / Matin
Lieu: Internet
Date:13 /12/09
Site web: http://www.un.org/News/fr-press/docs/2006/ECOSOC6244.doc.htm
PS :À l’intention des organes d’information • Document non officiel (n°1)

BIBLIOGRAPHIE nº2 :
Titre: 20 Décembre : Journée Internationale de la solidarité Humaine / vendredi 15/12/06
Auteur: Buddhachannel
Lieu: Internet
Date:13 /12/09
Site web: http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article153

Solidarité

Qu'est-ce que la solidarité: 1ere partie



2eme partie



3eme partie

Qu'est-ce que la solidarité?




Solidarité vient du latin "solidus", entier, consistant.(nº1)C'est est le sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque au sein d'un groupe de personnes qui sont moralement obligées les unes par rapport aux autres. Ainsi les problèmes rencontrés par l'un ou plusieurs de ses membres concernent l'ensemble du groupe. La solidarité conduit l'homme à se comporter comme s'il était directement confronté au problème des autres, sans quoi, c'est l'avenir du groupe (donc le sien) qui pourrait être compromis.
La solidarité humaine est un lien fraternel et une valeur sociale importante qui unissent le destin de tous les hommes les uns aux autres. C'est une démarche humaniste qui fait prendre conscience que tous les hommes appartiennent à la même communauté d'intérêt.

Emile Durkheim (1858-1917), sociologue français, a montré que la solidarité pouvait prendre des formes différentes :
•solidarité fondée sur la similarité des individus dans les sociétés traditionnelles à conscience collective,
•solidarité liée aux interdépendances dans les sociétés modernes en raison de la division du travail et l'individualisme.
Le sociologue fait de la solidarité une attitude sociale et non le résultat de l'action morale individuelle.(nº2)

La solidarité doit être distinguée de l'altruisme qui conduit à aider son prochain, par simple engagement moral, sans qu'il y ait nécessité de réciprocité, ainsi que de la coopération où chacun travaille dans un esprit d'intérêt général pour l'ensemble.
Exemple d'organisations basées sur la valeur positive de solidarité :
• les syndicats
• les organisations non gouvernementales (ONG),
• les mutuelles de santé ou d'assurance,
• de nombreuses associations,
• les partis politiques, (nº1)

La solidarité est un devoir.Elle n'a pas de frontière, elle n'a pas de couleur, elle n'a pas de religion.Pensez le contraire, c'est renier les valeurs humaines qui nous caractérisent. (nº3)



BIBLIOGRAPHIE nº1:
Titre: La solidarité
Auteur: Citoyen de demain
Date: 14/12/09
Lieu: Internet
Site web: http://www.citoyendedemain.net/agenda/la-solidarit%C3%A9

BIBLIOGRAPHIE nº2:
Titre: Solidarité
Auteur: La toupie
Date: 14/12/09
Lieu: Internet
Site web: http://www.toupie.org/Dictionnaire/Solidarite.htm


BIBLIOGRAPHIE nº3:
Titre: Délit de solidarité
Auteur: Sarah Halifa-Legrand
Date: 14/12/09
Lieu: Internet
Site web: http://mouvdc.canalblog.com/archives/2009/10/18/15469949.html

samedi 28 novembre 2009

Journée mondiale du climat: le 8 décembre.


Du 3 au 15 Décembre se tiendra à Bali, la 13ème conférence internationale des Nations unies sur le changement climatique, pour préparer la suite du protocole de Kyoto.
Le 8 décembre est la date retenue par les ONG internationales pour la Journée mondiale du Climat.

En France, le Réseau Action Climat lance un appel à tous les citoyens et à toutes les associations environnementales : Du Local au Global agissons contre le Changement Climatique ! - 30 % d'émission de gaz à effet de serre d'ici 2020, sans nucléaire c'est possible !

A Paris, une Parade Climatique est organisée et soutenue par de nombreuses associations environnementales.
Rendez-vous le 8 décembre à 14h Place du Châtelet !

En région, des initiatives apparaissent. N'hésitez pas à vous mobiliser au niveau local pour que cette année encore, la journée mondiale du climat soit une réussite et qu'un message clair soit passé au gouvernement : il est temps de tenir les promesses politiques en matière de lutte contre le changement climatique !
Si nous y participons tous, cette action aura un réel poids médiatique et politique, moins d'une semaine avant l'annonce du projet de loi issu du Grenelle de l'Environnement. (n°1)


PS: Vous trouverez toutes les informations relatives à l'action sur le site : http://www.rac-f.org/8decembre
Contact / information :
Réseau Action Climat : 01 48 58 83 92 / infos@rac-f.org (n°1)

Aux Etats-Unis:

Un groupe de manifestants s'est installé devant la Maison Blanche avec des pancartes « 350-Coast to-Coast » symbolisant l'union des citoyens américains face au défi imposé par le changement climatique. Ils distribuent des prospectus aux passants, leur font partager leur énergie et leurs espoirs en remerciant ceux qui prennent le temps de discuter et de s'informer sur les enjeux du climat. D'autres manifestants viennent bientôt les rejoindre dans l'allée de Lafayette Square. Comme eux, des dizaines d'organismes, d'associations et d'autres mouvements créés spécialement pour la Journée d'action du 8 Décembre se mobilisent aujourd'hui à dans la capitale américaine pour faire comprendre au gouvernement et au monde entier que l'adaptation au changement climatique doit être LA priorité.

En effet, toutes les politiques, qu'elles soient relatives à la lutte contre la pauvreté et la famine, à l'agriculture, à l'industrie et à l'énergie, doivent absolument prendre conscience des effets irreversibles que nos moyens de production ont sur l' environnement. S'attaquer au problème du réchauffement de la planète est essentiel pour pouvoir lutter contre la famine due aux sécheresses ou aux inondations qui détruisent les ressources alimentaires des pays en voie de développement. La pauvreté, les maladies et la corruption ne peuvent être vaincues tant que les gens continuent de mourir de faim. On ne doit pas laisser le changement climatique entraver ou ralentir les progrès des pays en développement. Nous devons nous mobiliser, tous ensemble, partout dans le monde..

Les ONG et les actions citoyennes ne peuvent pas atteindre seules leur objectif. Pour aider nos sociétés à s'adapter au changement climatique, elles ont besoin de l'aide des gouvernements. Il faut convaincre les responsables politiques du monde entier de leur rôle primordial face à l'avenir de notre planète, les gouvernements doivent prendre les engagements politiques et financiers nécessaires. Pas demain, mais maintenant ! Mobilisons-nous aujourd'hui pour que nos voix soient entendues jusqu'à la Conférence de Copenhague en décembre.

Agissez aujourd'hui pour l'environnement, ne prenez pas votre voiture seul si vous êtes plusieurs à faire le même trajet. (n°2)


BIBLIOGRAPHIE nº1:
Titre: 8 décembre : journée mondiale du Climat
Auteur: Actu-Environnement (© Tous droits réservés)
Lieu: Internet
Date: 28/11/09
Site web: http://www.actu-environnement.com/ae/agenda/manif/decembre_journee_mondiale_climat_4836.php4

BIBLIOGRAPHIE nº2:
Titre: Les supporters du climat devant la Maison Blanche - Washington DC - 13h (19h en France)
Auteur: Liviane Urquiza,
Lieu: Internet
Date: 28/11/09
Site web: http://www.durable.com/actualite/article_journee-mondiale-d-action-pour-le-climat-avec-350-org_234

Le changement climatique: causes et conséquences




Introduction
Lors de la canicule de l'été dernier, l'homme a effronté et pris en considération plus qu'avant les changements que subissait notre climat. Toutes ces modifications qualitatives des paramètres normaux du climat planétaire, tous ses signes alarmants, font douter l'homme de la stabilité de notre climat actuel, et de plus en plus de personnes se demandent quelles en seront les conséquences...
Ainsi, nous pouvons nous demander quelles sont réellement ces conséquences sur la biosphère.
Nos chercheurs restent perplexes quant à cette évolution du climat influencée par l'homme d'une part, mais aussi et surtout par le cours du temps. Ces derniers ne peuvent que constater les conséquences présentes des changements climatiques sur notre planète, tout en émettant des réserves sur les conséquences futures.(nº1)



Les causes

Les changements climatiques auxquels nous commençons à assister sont dû à l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère. Ces gaz à effet ont toujours existé dans l’atmosphère de façon naturelle, et le plus courant d’entre eux est l’eau. Mais, depuis quelques dizaines d’années, les plus dangereux des gaz à effet de serre (le CO2, le NH4, …) ont connu une augmentation exponentielle dont l’origine est loin d’être naturelle.
Les activités humaines sont aujourd’hui la première cause de cette augmentation du phénomène de l’effet de serre : les industries, les transports, l’agriculture, les bâtiments et la production d’énergie en sont les principales. Ce sont tous les pans de la société dont il faut repenser le fonctionnement.
Par ailleurs, il est important de faire la différence entre la contribution à l’augmentation des gaz à effet de serre des pays industrialisés depuis plus d’un siècle et la contribution des pays actuellement en voie de développement(nº2)

Les conséquences

Le réchauffement climatique a des conséquences très préoccupantes sur l'homme et l'environnement

-réchauffement des terres émergées et des latitudes élevées
-fonte des glaciers , diminution voire disparition dans certaines zones de la glace dans l'Arctique et l'Antarctique
-élévation du niveau de la mer provoquant des inondations des zones côtières, à cause de l'augmentation de la température de l'eau, la dilatation de l'eau chaude la rendant plus volumineuse que l'eau froide
-perturbation voire destruction de certains écosystèmes
extinction d'espèces
-extension du désert
-recrudescence de maladies infectieuses, qui s'étendront vers le Nord
-vagues de chaleurs plus intenses
-fortes pluies plus fréquentes et denses
-cyclones, typhons et ouragans plus intenses, avec des vents et précipitations plus violents ainsi que des inondations, provoquant des dommages humains et matériels graves
-baisse de la ressource en eau potable
-migration de masse des peuples subissant le réchauffement climatique

Les perspectives d'augmentation de température varient entre 1,8°C et 4°C d'ici la fin du siècle, augmentation qui ne sera pas répartie uniformément sur la planète : au Pôle Nord, les températures moyennes des dix dernières années ont augmenté 2 fois plus vite qu’au niveau mondial.(nº3)


Conclusion
Le climat de la planète va probablement changer de manière assez sensible au cours de ce siècle, et cela en grande partie du fait des activités humaines. Les retombées de la civilisation actuelle vont sans doute modifier la situation d’individus, de régions, de pays, et même de continents et cela sur différents éléments de la biosphère.
De plus, les retombées de ces changements sont déjà perceptibles au niveau du vivant et des risques naturels qui se multiplient. Ces changements climatiques entraîneront avec eux de nombreux effets négatifs qui seront de plus en plus visibles au fur et à mesure qu’on avancera dans le temps.
Mais au jour d’aujourd’hui, pourquoi l’homme se préoccupe t-il si peu des changements climatiques et de ses conséquences ? Faut-il qu’un phénomène climatique extrême vienne perturber ses habitudes pour qu’il prenne conscience que la terre souffre d'importantes variations du climat ?(nº1)





BIBLIOGRAPHIE nº1:
Titre:Quelles conséquences découlent du changement climatique?
Auteur:ac-creteil
Lieu: Internet
Date: 28/11/09
Site web: http://www.ac-creteil.fr/lycees/94/mperretalfortv/voir/tpe/TPE%20SA/tpe.htm

BIBLIOGRAPHIE nº2:
Titre:Le changement climatique : ses causes
Auteur:Amis de la terre
Lieu: Internet
Date: 28/11/09
Site web: http://www.amisdelaterre.org/Le-changement-climatique-ses.html

BIBLIOGRAPHIE nº3:
Titre: Conséquences du réchauffement climatique
Auteur: Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC)
Lieu: Internet
Date: 28/11/09
Site web: http://www.vedura.fr/environnement/climat/consequences-rechauffement-climatique

mercredi 11 novembre 2009

26 novembre : Journée Mondiale Sans Achats



La journée mondiale sans achat est un évènement qui permet de dénoncer la sur-consommation et les erreurs induites : dégradation de l'environnement, exploitation des populations ou encore perte des valeurs humaines, emprise de la publicité qui pousse à avoir plutôt qu'être. Aujourd'hui la société de consommation, c'est 20 % de la population mondiale (évidemment les pays riches) qui consomment plus de 80 % des ressources de la planète.
La société de consommation est aveugle, il n'y a pas de croissance et développement économique infinis possibles sur une planète dont les ressources sont limitées. Nous extrayons aujourd'hui deux fois trop de ressources fossiles et nous émettons dans l'atmosphère plus de deux fois plus de gaz carbonique que la planète ne peut en absorber. La biodversité s'effondre. Nous consommons en quelques décennies tout ce que la planète a accumulé en des millions d'années, comme le pétrole ! Et pour mieux "servir" cette société de consommation, 218 millions d'enfants de moins de 15 ans travaillent. (n°1)
Aujourd’hui le caddie est devenu un véritable totem pour les sociétés occidentales. Notre niveau de satisfaction dépend généralement de son niveau de remplissage et nous lorgnons toujours avec envie sur les caddies plus remplis que le notre. J’achète donc je suis : c’est le credo des accros de la carte de crédit. Qui n’a jamais été pris d’une fièvre acheteuse ? Et qui n’a jamais regretté ses achats impulsifs ?
Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats fétée chaque année le 26 novembre.
La journée sans achats, c’est 24 heures de réflexion sur l’impact social, économique et écologique de la consommation des pays riches sur l’ensemble de la planète. N’oublions pas que 20% de la population mondiale consomme 80% des ressources planétaires !
Lancé à l’initiative de la Media Fondation à Vancouver, cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui font notre richesse. Nous avons effectivement des désirs mais ce n’est certainement pas une quelconque marque de chips, eau de toilette ou de chaussures de sport qui pourrait les combler.
La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Il est nécessaire de prendre de temps en temps du recul pour réfléchir aux valeurs que nous souhaitons défendre, comme le partage, le respect et la qualité. C’est aussi un instant privilégié pour nous interroger non seulement sur nos droits, mais surtout sur nos devoirs et nos responsabilités. Nous disposons d’un réel pouvoir économique qui peut se transformer en un pouvoir de pression. La décision d’achat ou de non-achat peut donc devenir un acte politique qui contribuerait à changer le système. Consommer autrement, c’est revendiquer sa volonté de voir évoluer les législations, c’est dire oui à une approche éthique de l’acte d’achat, aux alternatives économiques et à une autre gestion de son temps.
On nous pousse à croire que surconsommer est notre destinée d’acteur social ; notre raison d’être dans la société. D’ailleurs, ne voit-on pas que sont exclus tout ceux qui ne peuvent, comme nous, faire leur "shopping " hebdomadaire ! Notre vie ne dépend-elle que de la couleur de notre carte de crédit ? L’achat serait-il notre seul moyen d’exister ? (n°2)

PS.1: Si la population mondiale consommait comme un français, il nous faudrait 3 planètes, et si la consommation mondiale était calquée sur le modèle américain, 6 planètes seraient nécessaires. Pourtant nous n'en avons qu'une à partager et à transmettre à nos enfants !!(n°3)

PS.2: Au fait, pour fêter la journée sans achat, n'oubliez pas d'acheter une bonne bouteille... la veille !(n°2)

BIBLIOGRAPHIE(n°1-3)
Titre : Journée mondiale sans achat, (29 novembre 2008)
Auteur : Laurence-Aboneobio. le mardi 25 novembre 2008 à 14:45
Lieu: Internet
Date : 11/10/09
Site web : http://www.aboneobio.com/blog/post/2008/11/25/769-journee-mondiale-sans-achat-29-novembre-2008

BIBLIOGRAPHIE (n°2)
Titre : 26 novembre : Journée Mondiale Sans Achats
Auteur :Journee mondiale
Lieu: Internet
Date : 11/10/09
Site web : http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm

dimanche 8 novembre 2009

Les dangers de la surconsommation


Consommer, ça fait partie de la vie. Nous avons des besoins essentiels auxquels il nous faut répondre : se nourrir, se vêtir, se loger, se déplacer, se divertir, s’éduquer… Et pour subvenir à ces besoins essentiels, il existe des entreprises, des compagnies, des fabricants, qui offrent soit des services, soit des produits.
Consommer n’est donc pas mauvais en soi, le problème c’est la SURconsommation.Si tous les habitants de la Terre adoptaient le mode de vie qui prévaut dans les pays industrialisés du Nord, une planète Terre ne serait pas suffisante pour combler tous les besoins, il en faudrait plutôt 5!(nº1)

La surconsommation recouvre plusieurs aspects, dont les trois principaux sont :

la consommation actuelle des pays dits riches et développés, qui mènerait, à terme, à un épuisement de nombreuses ressources naturelles mondiales (énergie, biomasse, diversité génétique, matières premières, mais aussi eau potable et nappes phréatiques par exemple).
Cette consommation des pays développés serait porteuse de très nombreux inconvénients au niveau planétaire comme : dérèglements du climat, pollutions de toutes sortes (de l'eau, par une consommation excessive d'engrais et de pesticides, de l'air par des transports trop massivement routiers par exemple), surconsommation de médicaments créatrice de problèmes très graves de santé publique (résistance croissante des bactéries aux antibiotiques par exemple), etc. Avec, parmi les conséquences, la nécessité d'une consommation supplémentaire de soins : un cercle vicieux s'installe.
Les milieux naturels et l'espace bioproductif (forêt, prairie, sols arables..) disponible est lui-même en régression du fait de la déforestation et de l'importance de la périurbanisation et du développement des déserts et sols dégradés. Le braconnage, la chasse excessive et la surpêche affectent des ressources locales avec des effets différés dans l'espace et le temps via les espèces migratrices.
Les "maladies d’abondance" (obésité, diabète, hypertension artérielle, maladies cardio-vasculaires, cancers, etc.) se développent, et elles seraient liées en grande partie aux nouvelles habitudes de consommation alimentaires (excès d'aliments sucrés, salés et gras, d'aliments industriels moins riches en oligo-éléments et nutriments favorables à la santé, en remplacement de fruits et légumes très protecteurs) dans la plupart des pays développés.(nº2)
Mais aux pays les moins développés on y soufre de cette surconsommation des pays industrialisés; de nombreux enfants doivent travailler pour subvenir aux besoins de leurs familles. Ils travaillent à des salaires très bas, dans des conditions de travail souvent dangereuses, aussi les ateliers de misère se sont desindustries dans
lesquelles les employés sont exploités, travaillent trop longtemps et / ou de manière forcée, dans lesquels sévissent des abus physiques ou moraux; les droits humains ne sont pas respectés.(nº3)


BIBLIOGRAPHIE nº1:
Titre: Surconsommation – Conséquences sur l’environnement et les droits humains
Auteur: Interre
Lieu: Internet
Date: 08/11/09
Site web: http://www.in-terre-actif.com/fr/fichier/plan_consequences_environnement_droits.pdf

BIBLIOGRAPHIE nº2:
Titre: Surconsommation
Auteur: Wikipédia
Lieu: Internet
Date: 08/11/09
Site web: http://fr.wikipedia.org/wiki/Surconsommation


BIBLIOGRAPHIE nº3:
Titre: Discussion:Surconsommation
Auteur: Wikipédia
Lieu: Internet
Date:08/11/09
Site web:http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Surconsommation

Que peut on faire pour réduire notre surconsommation?



Nous vivons dans une société de surconsommation, mais il y a moyen de faire autrement
1- Se renseigner :
Consommer de façon responsable, c’est se renseigner sur l’origine de ce que l’on consomme. C’est vrai que les prix et la qualité sont importants, mais c’est aussi une question d’effets sociaux et environnementaux. Parce que nous prenons conscience que nos choix de consommation ont une influence sur le monde qui nous entoure. On devient consommateur responsable lorsqu’on s’informe et on se sensibilise à des réalités : on passe à l’action.
2- Transport :
Tu peux choisir un mode de transport écologique: vélo, marche, patin, etc. Le transport en commun ou le covoiturage.
3- Alimentation :
Choisir des produits locaux : ce sont ces produits qui correspondent le mieux à nos besoins nutritionnels. Aussi, leur transport est limité, donc, moins de pollution. Faire pousser ton jardin l’été. Ou avoir des pousses dans ta cuisine (tournesol, radis) et des germinations (lentille, luzerne).
4- Vêtements :
Conserver plutôt que consommer. Faire des achats durables: qualité, goût, facilité de réparation. Donner une 2e vie aux vêtements (les donner, acheter usagé, recycler).
Fabriquer ses vêtements à partir de tissus récupérés, réparer ses vêtements, ou leur donner un nouvel usage (exemple de sacoche en pantalon jean). Acheter des vêtements « éthiques ».
5- Tourisme responsable / écologique :
C’est de privilégier une approche beaucoup plus sociale à la culture visitée. Par exemple, préférer les petites auberges, aux grands centres de villégiature. Échanger avec la population locale plutôt que de suivre des parcours tout tracés avec un groupe de touristes. Localement, faire des excursions en prenant soin de respecter l’environnement, ne pas abîmer la nature.
6- Gestion des déchets / recyclage :
Des matière que nous utilisons comme le papier, le carton, le verre et les métaux prennent souvent le chemin du sac à ordure au lieu d’être déposées dans un bac à récupération.
Attention : avant de recycler, il y a d’autre étapes à franchir. Connaissez-vous les 3R? On doit tout d’abord essayer le plus possible de RÉDUIRE notre consommation. Ensuite RÉUTILISER. Ce n’est que quand on n’a pas d’autre choix qu’on RECYCLE. Recycler, ça
pollue puisque nos matières doivent être traitées dans des usines. Par contre, on peut faire quelque chose de nouveau en bout de ligne et on n’accumule pas de déchets dans nos dépotoirs.(nº1)
7- Le commerce équitable: Équitable, éthique, responsable ou durable : sous ces vocables, des importateurs de produits de consommation courante, mettent en avant le respect par leurs marchandises ou leurs services de la charte du commerce équitable. Ces produits doivent avoir été fabriqués ou cultivés dans le respect des droits de l'homme (pas de travail forcé ou de travail des enfants, absence de discriminations, garantie des libertés syndicales, etc.), dans le respect de l'environnement (préservation des écosystèmes, etc.), et un prix juste doit rémunérer les producteurs, leur garantissant ainsi un niveau de vie décent.(nº2)


Certaines personnes font aussi de la simplicité volontaire (ou sobriété heureuse) est un mode de vie consistant à réduire volontairement sa consommation en traçant une ligne entre ses besoins et ses désirs. On parle aussi parfois de frugalité et l'objectif est de mener une vie davantage centrée sur des valeurs "essentielles".(nº3)


En conclusion, l’importance des « 3 SIN »
•S’INdigner :
Ne pas rester indifférent par rapport aux injustices et aux conséquences de nos actes desurconsommation
• S’INformer :
Diversifier nos sources d’information, aller au-delà des idées orientées par les médias de masse
• S’IMpliquer :
Pose des actions, sensibilise ton entourage et adopte des habitudes de consommation
responsables.(nº1)



BIBLIOGRAPHIE nº1:
Titre: Surconsommation – Conséquences sur l’environnement et les droits humains
Auteur: Interre
Lieu: Internet
Date: 08/11/09
Site web: http://www.in-terre-actif.com/fr/fichier/plan_consequences_environnement_droits.pdf

BIBLIOGRAPHIE nº2:
Titre: Les avantages du commerce équitable
Auteur: Icomme info
Lieu: Internet
Date: 08/11/09
Site web: http://www.icommeinfo.com/conso/droits-demarches/les-avantages-du-commerce-equitable,910

BIBLIOGRAPHIE nº3:
Titre: Simplicité volontaire
Auteur:Ékopédia
Lieu: Internet
Date: 08/11/09
Site web: http://fr.ekopedia.org/Simplicit%C3%A9_volontaire

dimanche 1 novembre 2009

Jounée sans voiture à Toulouse

Pourquoi une journée sans voiture?


Une telle entreprise est née d'un constat : les Européens sont fortement préoccupés par la pollution et la mobilité urbaine. En ville, beaucoup se plaignent d'une mauvaise qualité de l'air, de nuisances sonores, d'encombrements, etc. Malgré cela, le parc automobile et la circulation croissent...(nº1)

Les objectifs principaux sont les suivants :


-encourager les comportements compatibles avec le développement durable et plus particulièrement la protection de la qualité de l'air, la réduction du réchauffement planétaire et de la pollution sonore

-améliorer la sensibilisation des citoyens aux effets de leurs choix de transport sur la qualité de l'environnement

-offrir la possibilité aux citoyens de marcher, faire du vélo, prendre les transports collectifs au lieu d'utiliser seuls leurs véhicules privés et promouvoir l'intermodalité

-donner aux gens la possibilité de redécouvrir leur ville ou leur village, leurs concitoyens et leur patrimoine commun dans un environnement plus sain et plus agréable (nº2)

La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines:
En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.
Globalement, ce sont tout de même près de 1500 villes dans une quarantaine de pays se seront mobilisées en 2004.(nº1)

Le 22 septembre, cette année encore, sera le rendez-vous de « La Journée sans voiture », dans notre ville et aussi dans de nombreuses villes à travers le monde. Tout d’abord cette journée mondiale doit être un moment privilégié pour communiquer et échanger sur les différents enjeux liés à la mobilité dans nos villes qui enregistrent chaque année inexorablement une augmentation sensible des déplacements en tout genre mais surtout des déplacements individuels en voitures particulières. Cela se refléte sur notre environnement; nous devons réagir.(nº3)

BIBLIOGRAPHIE nº1:
Titre: 22 septembre : Journée Mondiale sans voiture
Auteur: Journée mondiale
Lieu: Internet
Date: 01/11/09
Site web: http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm

BIBLIOGRAPHIE nº2:
Titre: Journée internationale sans voitures
Auteur: La pause lecture
Lieu: Internet
Date: 01/11/09
Site web: http://www.pause.pquebec.com/sujet/journee-internationale-sans-voitures.htm

BIBLIOGRAPHIE nº3:
Titre: 22 septembre , journée mondiale "SANS VOITURE"
Auteur: Mars
Lieu: Internet
Date: 01/11/09
Site web: http://www.zideesdemars.com/spip.php?article207

Trop de voitures pour la planete




Cet exces de voitures à pour conséquence un rechauffement climatique.
A cause de se rechauffement climatique l’effet de serre et plus present :
L'effet de serre assure une température moyenne de +15°C environ au lieu de -19 °C. En fait, une température de -19°C ferait geler les océans, ce qui augmenterait considérablement leur albédo (pouvoir réflecteur) faisant chuter les températures autour de -100°C...
La Terre reçoit la majeure partie de son énergie du soleil, une partie est directement réfléchie, une autre absorbée et une dernière rayonnée sous forme d'infrarouges par notre planète. Le rayonnement infrarouge émis par la Terre est en partie intercepté par les gaz à effet de serre de l'atmosphère terrestre tandis que le reste est diffusé vers l'espace.
Ainsi, la vapeur d'eau, le méthane, le dioxyde de carbone et le protoxyde d'azote, qui sont les principaux Gaz à Effet de Serre (GES) contribuent à piéger l'énergie renvoyée, augmentant la température moyenne de la Terre. En effet, ce sont les gaz à structure qui on un minimum de trois atomes, qui retiennent le rayonnement infrarouge. (n°1)

Avec le réchauffement climatique et les transports qui émettent des émissions de CO2 la planète est surchargée. Donc, entant que responsables de ce réchauffement nous devrions faire en sorte d’émettrent moins de gaz toxiques (par exemple en faisan du co-voiturage ou en utilisant des transports collectifs.) Donc avoir un jour sans transport est une bonne initiative qui devrai se reproduire plusieurs fois par an. (n°2)


BIBLIOGRAPHIE n°1
Titre : Comprendre l'effet de serre
Auteur : notre-planete.info
Lieu: Internet
Date : 01/11/09
Site web : http://www.notre-planete.info/geographie/climatologie_meteo/changement_0.php

BIBLIOGRAPHIE n°2
Titre : bilan de la journée sans voiture
Auteur : Amaia Zugaza
Date : 01/10/09


Source (photo) : CNES, 04/2006

dimanche 18 octobre 2009

Chiffres alarmants sur la faim dans le monde



Une personne meurt de faim dans le monde toutes les quatre secondes


815 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde. Ce chiffre diminue en moyenne de 6 millions par an. Mais il faudrait que cette baisse passe à 28 millions pour réduire de moitié le nombre de personnes mal nourries d'ici à 2015, objectif fixé par l'Onu.
30 pays d'Afrique subsaharienne souffrent de sous-alimentation, soit plus de la moitié des 50 pays recensés par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). La Somalie détient le triste record de malnutrition de la planète: 75% de sa population en souffre.
24.000 personnes meurent de faim chaque jour dans le monde, soit une toutes les quatre secondes.
3 600 calories avalées en moyenne quotidiennement par un Américain: 67% de plus qu'un Africain.(n°1)

La faim demeure la principale cause de mortalité dans le monde

Le Programme Alimentaire Mondial (PAM) a souligné jeudi 16 octobre 2003, dans un message à l'occasion de la Journée mondiale de l'alimentation, que "malgré les généreuses donations de la communauté internationale, des millions de personnes souffrent encore de la faim", Pour l'agence des Nations Unies basée à Rome, "le PAM est confronté à la plus importante demande d'aide alimentaire en quarante ans".

"Cette année, le PAM a besoin de plus de 4,3 milliards de dollars pour aider à nourrir 110 millions de personnes, mais il lui manque encore 600 millions de dollars", a déploré l'agence onusienne. "Parmi les populations qui souffrent de la faim, il y a des centaines de milliers de Libériens que les organisations internationales sont toujours dans l'impossibilité de secourir", a précisé le PAM. Le PAM alerte également sur les difficultés alimentaires en Corée du Nord et en Haïti.

Plus de 800 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde et les chefs d'État et de gouvernement se sont engagés à plusieurs reprises à tout mettre en oeuvre pour réduire le nombre de moitié d'ici à 2015, a rappelé le PAM.(n°2)


BIBLIOGRAPHIE n°1
Titre : La faim demeure la principale cause de mortalité dans le monde 16 sept. 2002
Auteur : SOS planète la Terre n’est pas rechargeable (apparu dans le libération)
Lieu: Internet
Date : 17 /10/09
Site web : http://terresacree.org/faim.htm



BIBLIOGRAPHIE n°2
Titre : La faim demeure la principale cause de mortalité dans le monde oct. 17, 2003
Auteur : ©2003 L'investigateur – (tous droits réservés)
Lieu: Internet
Date : 17 /10/09
Site web : http://www.investigateur.info/news/articles/article_2003_10_17_monde.html

La lutte contre la faim



Connaissant à présent la gravité de la faim dans le monde, il est important de savoir si elle peuve être combattue et si on peut nous même contribuer à cette lutte qui enlèvent chaque année la vie à des millions de personnes.

Il existe de nombreuses associations, publiques ou privées, et autres procédés qui viennent en aide au tiers monde. Par exemple les organisations internacionales; l’Organisation des Nations Unies (ONU),la Banque mondiale, qui regroupe la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD), l'Association Internationale de Développement (AID), la Société Financière Internationale (SFI); la FAO (Food and Agriculture Organization), qui est en charge du programme de l'ONU pour le développement et qui, chaque année depuis 1946, organise une journée mondiale de l’alimentation le 16 octobre. Il existe aussi les organisations non gouvernementales (ONG) qui sont innombrables. Généralement composées de bénévoles, elles mènent des actions aussi bien d’ordre religieux que professionnel. Quelques exemples sont La Croix rouge, Action contre la faim, etc)(nº1)

Mais on peut nous mêmes contribuer à la lutte contre la faim. En donnant chaque mois une somme d'argent aux organisations, en faisant attention à ne pas dépenser de la nouriture bêtement ou même à l'école avec la course contre la faim, organisée dans toutes les écoles françaises du monde qui s'adresse à de jeunes collégiens et lycéens à qui l'on propose de manifester leur solidarité envers d'autres enfants moins favorisés. Cette course solidaire permet de récolter des fonds pour soutenir des programmes d'Action contre la Faim. (nº2)

La lutte contre la faim est très importante car c’est moyen principal pour vaincre la faim. Chacun d’entre nous devrait réaliser une action ou faire un don pour que cessent les injustices dans le monde. La solidarité est donc fondamentale, et des associations nous aident et nous incitent dans la démarche pour lutter. (nº1)


BIBLIOGRAPHIE nº1
Titre:La faim dans le monde (7): La lutte contre la faim
Auteur: Romain
Lieu: Internet
Date:17/10/09
Site web: http://www.rvweb.fr/index.php?2001/12/14/10-la-faim-dans-le-monde-7

BIBLIOGRAPHIE nº2
Titre: Bénévole pour "LA COURSE CONTRE LA FAIM "
Auteur: Action contre la faim
Lieu: Internet
Date: 17/10/09
Site web: http://www.actioncontrelafaim.org/nous-rejoindre/etre-benevole/

mercredi 30 septembre 2009

Qu'est ce que c'est le développement durable ?

Quelques notions sur le développement durable


Schéma sur le développement durable



Le rapport Brundtland a défini en 1987 le développement durable « comme un développement qui ré`pond aux besoins présents sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. »
Un tel développement doit prendre en compte 3 dimensions indissociables :

L’économie
Il s’agit de développer la croissance et l’efficacité économiques pour favoriser la création de richesses pour tous à travers des modes de production et de consommation durables.
Le pilier économique repose notamment sur :
-l’utilisation raisonnée des ressources et des milieux naturels
-une évolution des relations ´économiques internationales (ex : place du commerce équitable...)
-l’intégration des coûts environnementaux et sociaux dans le prix des biens et des services


Le social
Il s’agit de satisfaire les besoins humains (en matière de santé, logement, consommation, éducation…) et répondre à un objectif d’équité sociale.
Le pilier sociale repose notamment sur :
-la satisfaction des besoins essentiels des populations
-la lutte contre l’exclusion et la pauvreté
-la réduction des inégalités
-le respect des cultures

L’environnementale
Il s’agit de préserver, améliorer et valoriser l’environnement et les ressources naturrelles sur le long terme
Le piler environnementale repose notamment sur :
-la gestion durable des ressources naturelles
-le maintien des grands équilibres écologiques (climat, diversité biologique, océans, forêts…)
-la réduction des risques et la prévention des impacts environnementaux.

Seul un développement tenant compte de ces 3 piliers pourra être considéré comme durable.
Mais ce n’est pas tout, pour mettre en œuvre une nouvelle dynamique le développement durable s’appuie aussi sur un certain nombre de principes comme la solidarité, la participation et la bonne gouvernance et la précaution.

BIBLIOGRAPHIE:
Titre : Qu'est ce que le développement durable ?
Auteur : ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie)
Lieu: Internet
Date : 16/09/09
Site web : http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?sort=-1&cid=96&m=3&catid=12390&p1=2

vendredi 25 septembre 2009

Le développement durable : une notion en débat


Certaines personnes refusent la notion de développement durable car elle ne remet pas vraiment en question les modèles de développement économique actuels, caractérisés par la course à la production, le productivisme (agriculture), l’intégration à la sphère marchande d’un nombre toujours plus grand d’objets et d’activités. Ils pensent que la poursuite de la croissance va dans le sens d’une protection de l’environnement. Ils critiquent l’idée selon laquelle la faute augmentation du capital (équipements, connaissances, compétences, etc.) créé par les hommes pourrait compenser les quantités moindres de capital naturel (le stock de ressources naturelles disponibles).
Certaines personnes regrettent aussi que la notion de développement durable soit devenue une notion ou tout est valable, au-delà des stricts aspects environnementaux et intergénérationnels, et que les autorités l’utilisent dans de multiples circonstances. Le développement durable recouvre ainsi le progrès social, la solidarité entre les peuples, la lutte contre la faim, l’équité sociale, le commerce équitable, une alimentation saine et adaptée, les droits de l’homme, etc. Par ailleurs, les ONG, après avoir inventé et promu le développement durable (comme le World Wide Fund for Nature par exemple), se voient peu à peu dépossédées de ce domaine par les gouvernements et les entreprises.
La notion de développement durable a finalement plusieurs connotations car d’un côté, elle met l’accent sur les effets négatifs du système de développement économique actuel, et, de l’autre, elle peut faire paraître des évolutions quitte à intégrer une dimension environnementale dans celles-ci.

BIBLIOGRAPHIE:
Titre : Fiches concours Actualité de la Documentation française
Auteur : Actualité de la Documentation française
Lieu: Internet
Date :20 /09/09
Site web : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/developpement-durable/notion-debat.shtml