dimanche 8 novembre 2009

Les dangers de la surconsommation


Consommer, ça fait partie de la vie. Nous avons des besoins essentiels auxquels il nous faut répondre : se nourrir, se vêtir, se loger, se déplacer, se divertir, s’éduquer… Et pour subvenir à ces besoins essentiels, il existe des entreprises, des compagnies, des fabricants, qui offrent soit des services, soit des produits.
Consommer n’est donc pas mauvais en soi, le problème c’est la SURconsommation.Si tous les habitants de la Terre adoptaient le mode de vie qui prévaut dans les pays industrialisés du Nord, une planète Terre ne serait pas suffisante pour combler tous les besoins, il en faudrait plutôt 5!(nº1)

La surconsommation recouvre plusieurs aspects, dont les trois principaux sont :

la consommation actuelle des pays dits riches et développés, qui mènerait, à terme, à un épuisement de nombreuses ressources naturelles mondiales (énergie, biomasse, diversité génétique, matières premières, mais aussi eau potable et nappes phréatiques par exemple).
Cette consommation des pays développés serait porteuse de très nombreux inconvénients au niveau planétaire comme : dérèglements du climat, pollutions de toutes sortes (de l'eau, par une consommation excessive d'engrais et de pesticides, de l'air par des transports trop massivement routiers par exemple), surconsommation de médicaments créatrice de problèmes très graves de santé publique (résistance croissante des bactéries aux antibiotiques par exemple), etc. Avec, parmi les conséquences, la nécessité d'une consommation supplémentaire de soins : un cercle vicieux s'installe.
Les milieux naturels et l'espace bioproductif (forêt, prairie, sols arables..) disponible est lui-même en régression du fait de la déforestation et de l'importance de la périurbanisation et du développement des déserts et sols dégradés. Le braconnage, la chasse excessive et la surpêche affectent des ressources locales avec des effets différés dans l'espace et le temps via les espèces migratrices.
Les "maladies d’abondance" (obésité, diabète, hypertension artérielle, maladies cardio-vasculaires, cancers, etc.) se développent, et elles seraient liées en grande partie aux nouvelles habitudes de consommation alimentaires (excès d'aliments sucrés, salés et gras, d'aliments industriels moins riches en oligo-éléments et nutriments favorables à la santé, en remplacement de fruits et légumes très protecteurs) dans la plupart des pays développés.(nº2)
Mais aux pays les moins développés on y soufre de cette surconsommation des pays industrialisés; de nombreux enfants doivent travailler pour subvenir aux besoins de leurs familles. Ils travaillent à des salaires très bas, dans des conditions de travail souvent dangereuses, aussi les ateliers de misère se sont desindustries dans
lesquelles les employés sont exploités, travaillent trop longtemps et / ou de manière forcée, dans lesquels sévissent des abus physiques ou moraux; les droits humains ne sont pas respectés.(nº3)


BIBLIOGRAPHIE nº1:
Titre: Surconsommation – Conséquences sur l’environnement et les droits humains
Auteur: Interre
Lieu: Internet
Date: 08/11/09
Site web: http://www.in-terre-actif.com/fr/fichier/plan_consequences_environnement_droits.pdf

BIBLIOGRAPHIE nº2:
Titre: Surconsommation
Auteur: Wikipédia
Lieu: Internet
Date: 08/11/09
Site web: http://fr.wikipedia.org/wiki/Surconsommation


BIBLIOGRAPHIE nº3:
Titre: Discussion:Surconsommation
Auteur: Wikipédia
Lieu: Internet
Date:08/11/09
Site web:http://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Surconsommation

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