mardi 12 janvier 2010

Droit des consommateurs























Nous citadins, nous bénéficions d’un droit commun. Le droit de la consommation. Il consiste à encourager des comportements de consommation plus respectueux de l'environnement et de la santé.


Le consommateur est au centre des préoccupations des organisations. C'est à lui que l'organisation va offrir ce supplément de valeur perçue afin de distancer la concurrence.
Pour mieux comprendre ce consommateur et son comportement, quatre approches principales se sont succédé.

Jusqu'au milieu de XXème siècle, l'approche économique considéra les décisions d'achat comme le résultat de calculs rationnels conscients. Le consommateur optimisant ainsi ses revenus autour de dépenses lui permettant la plus grande utilité possible. Mais cette acception du consommateur rationnel semblait se heurter à de nombreuses limites.
Dans les années 50, le consommateur est apprécié comme vulnérable aux influences de l'environnement. Deux courants vont alors s'opposer : celui qui s'intéresse au monde intérieur des individus et qui tend à comprendre les raisons du comportement; l'autre courant visant à agir sur l'individu, s'attachant à travailler sur les stimuli et les réponses comportementales.
Dans les années 70, c'est le traitement de l'information qui devient le centre de la réflexion autour du comportement du consommateur. Le consommateur est appréhendé comme un acteur qui développe des projets et met en place des stratégies de recherche pour parvenir à les réaliser. La place de la perception qu'a le consommateur joue un rôle central supérieur à celui de la réalité objective. La notion de risque perçu s'inscrivant dans cette logique.
Le début des années 80 consacre le retour de l'affectif dans la prise de décision. En effet, face à la quantité d'informations et au nombre de choix possibles le consommateur se trouve submergé. Il va aller au plus court et choisir une alternative convenable...qui n'est pas forcément la meilleure. Sa démarche n'est d'ailleurs pas forcément utilitariste. Il se peut que le consommateur recherche de l'émotion, du plaisir... une expérience. Le traitement de l'information prend alors une place plus relative.
On peut considérer aujourd'hui que la consommation peut viser à :
1. faire vivre une expérience, faire naître des émotions
2. permettre d'accéder aux propriétés fonctionnelles et symboliques des objets
3. aider les consommateurs à se classer les uns par rapport aux autres
4. devenir un jeu en faisant de l'interaction sociale sa finalité. (n°1)

Le consommateur rationnel est dans la théorie néo-classique de l'homo oeconomicus, une des faces de ce même homo oeconomicus, avec le producteur rationnel.
Le concept de rationalité en science économique est apparu dans les années 1930, mais hérité des marginalistes des années 1870. La notion de rationalité désigne, depuis Aristote, l' « adaptation des comportements des individus par rapport aux buts qu'ils poursuivent ». Les économistes classiques et les marginalistes ont identifié ce comportement rationnel à un processus de maximisation de l'utilité.
On considère généralement un comportement rationnel comme une simple utilisation cohérente des moyens dont on dispose pour faire certains choix précis. Pour l'économiste, le concept de rationalité pure (ou optimisatrice) repose sur certaines hypothèses et signifie que l'on choisit de consommer en fonction d'un ordre de préférence complet et transitif, avec une informations parfaite et sans coût.
Ce postulat d'une rationalité absolue qui est un des fondements de l'analyse économique classique se trouve cependant devoir être nuancé. Un simple regard extérieur suffit à trouver des exemples où le consommateur fait des actes qui peuvent nous sembler irrationnels.(n°2)

Récemment, certains grands centres commerciaux ont lancés diverses formes d'activités de promotion, qui ont conduit aux consommateurs d’acheter la majorité des produits promotionnés.

Les consommateurs ont donc fait attention avant de poser un bon échantillon dans le chariot, puis une attention particulière aux entreprises de commercialisation de publicité, alors que leurs produits favoris avec un prix plus raisonnable, ne les attrayais plus autant. Donc il n'est pas difficile de voir que les consommateurs bénéficient en plus d'hommes d'affaires, "shopping" discount le plaisir des produits de base, mais aussi comprendre l'importance de la consommation rationnelle (n°3)


Donc: ceci est un message pour tout les consommateurs : faites attentions a ce que vous placés dans le cadis et ne vous laisser pas entréner par la publicitée.

BIBLIOGRAPHIE nº1 :
Titre : l’ importance de comprendre le consommateur
Auteur: ( inconnu )
Lieu: Internet
Date:12 /01/10
Site web: http://ymorin.ep.profweb.qc.ca/Mes%20cours/Consommateur/Introduction.doc

BIBLIOGRAPHIE nº2 :
Titre: Le consommateur est-il rationnel ?
Auteur: ( oboulo.com )
Lieu: Internet
Date:12 /01/10
Site web: http://www.oboulo.com/consommateur-est-il-rationnel-25589.html

BIBLIOGRAPHIE nº3 :
Titre: Soyez un consommateur rationnel
Auteur: ( c’est une annonce de Google )
Lieu: Internet
Date:12 /01/10
Site web: http://www.sourcejuice.com/1071738/2008/12/31/Soyez-consommateur-rationnel/fr/

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